"Enfin, après plusieurs tentatives avortées pour cause de météo défaillante, nous sommes arrivés (Fifi, Nico et moi-même) au sommet du Mont-Blanc ! La course a été magnifique mais éprouvante. Arrivés samedi à Chamonix, nous avons eu la chance de pouvoir prendre sans attente le téléphérique de l’aiguille du midi. Histoire de nous acclimater et de « tester » la cordée, nous avons gravi la pointe Lachenal avant de rejoindre le refuge des Cosmiques. Sans regret tant le vent soufflait nous avons abandonné le bivouac initialement prévu pour des places au refuge dénichées in extrémis la veille. Super repas et après une « très » courte nuit (réveil à 1 h du matin J) nous sommes partis vers 2h. L’ambiance de nuit était féérique avec le rubans des frontales qui se découpaient dans les pentes du Mont-Blanc du tacul, premier des 4000 du ![]()
jour. Le jour s’est le![]()
vé alors que nous grimpions dans la pente à 45° du col de Mont Maudit, second 4000 de la journée, piolets et crampons solidement (enfin nous espérions) accrochés dans la neige dure. Après avoir franchi une dernière crevasse et le célèbre mur de la côte nous sommes finalement parvenu au sommet déchiré par le vent. Le retour fût long, d’autant qu’il fallait, après plus de douze heures de course, remonter sur l’arête de l’aiguille du midi, une trace d’à peine la largeur d’un homme, surplombant le vide de chaque côté. Une magnifique aventure au final, accompagné tout au long du périple, des sourires des enfants de Nima.
jour. Le jour s’est le
vé alors que nous grimpions dans la pente à 45° du col de Mont Maudit, second 4000 de la journée, piolets et crampons solidement (enfin nous espérions) accrochés dans la neige dure. Après avoir franchi une dernière crevasse et le célèbre mur de la côte nous sommes finalement parvenu au sommet déchiré par le vent. Le retour fût long, d’autant qu’il fallait, après plus de douze heures de course, remonter sur l’arête de l’aiguille du midi, une trace d’à peine la largeur d’un homme, surplombant le vide de chaque côté. Une magnifique aventure au final, accompagné tout au long du périple, des sourires des enfants de Nima. Mais pas le temps de rêver trop longtemps car, décalage des dates aidant, je repars dès la semaine prochaine, avec Courir pour le Népal bien évidemment, pour le Trail des Glaciers de la Vanoise, une course cette fois-ci de 72 km pour 3800 de D+ avec un départ « facile » à 5 h du mat. Une semaine pour soigner les courbatures, les ampoules et refaire un peu de jus si je veux arriver au bout, ce qui sera l’objectif. " Arnaud
Le repos sera court, nous souhaitons bon courage à Arnaud pour son trail des Glaciers de la Vanoise, ce dimanche 3 juillet. http://trailsvanoise.wordpress.com/
Pour parier sur Arnaud, cliquez là !
Pour parier sur Arnaud, cliquez là !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire